• Une fresque effacée dans une pauvre église, un coffret contenant l'antique parchemin que j'ouvris lentement comme une gourmandise . J' y découvris alors ce monde sibyllin. En essayant de lire un vénéré grimoire, j'ai cru voir le discours d'un sorcier, d'un démon. C'était en vérité une fort pieuse histoire d'un miracle oublié, d'un bien trouble sermon. Une légende vieille et souvent très confuse, ayant peu d'intérêt pour les gens de l'endroit. Pas un dévot ce jour ne dirait qu'il y croit, mais à la négliger pourtant je me  refuse. En  traduisant les mots, j'ai dû faire une erreur. Le Prince Ténèbreux cherchant plaisir charnel ! C'est rare qu'on lui donne en un conte du Cœur, mais comme le péché l'amour est éternel.


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